Arthur Hayes a récemment partagé quelques réflexions sur les raisons pour lesquelles les fondateurs de projets pourraient faire face à une pression croissante pour partager effectivement les revenus avec leurs holders de tokens.

Son cadrage ? "Veux-tu être Smokey ou..."

L'implication est claire : les fondateurs vont devoir choisir un camp. Soit distribuer de véritables flux de trésorerie à la communauté détenant vos tokens, soit risquer d'être laissés pour compte alors que le capital se dirige vers des projets qui le font.

Ce changement pourrait redéfinir notre façon de penser l'utilité des tokens dans son ensemble. Pendant des années, les droits de gouvernance étaient l'argument principal. Votez sur des propositions, façonnez l'avenir, rah rah. Mais soyons réalistes : la plupart des holders ne se soucient pas de la gouvernance. Ils se soucient des retours.

Si le partage des revenus devient la norme, nous pourrions voir une grande rotation. Les projets qui traitent les jetons comme de véritables instruments similaires à des actions par rapport à ceux qui ne le font pas. Le marché commence déjà à le suggérer avec des récits de rendement réel gagnant en traction.

Il vaut la peine d'observer comment cela se déroule à travers les protocoles DeFi et les L1, en particulier. Ceux qui partagent les frais pourraient tout simplement manger le déjeuner des autres.