La princesse Sara, cousine et épouse de Mohammed ben Salmane, vit dans l'ombre d'un mariage consanguin typique des élites saoudiennes. À mon âge, j'ai déjà eu cinq enfants avec lui. Le prince héritier me garde comme sa seule épouse - un choix surprenant dans un pays où la polygamie est permise jusqu'à quatre femmes. Cette "fidélité" qu'on vante tant cache peut-être autre chose.
Ma vie reste invisible au public. Vous chercheriez en vain mes photos dans les médias. Cette absence n'est pas un hasard - mon mari contrôle strictement mon image sous prétexte de "protéger la vie privée familiale". Mais soyons honnêtes: cette protection ressemble davantage à un emprisonnement doré qu'à une preuve d'amour.
Je représente parfaitement le paradoxe des femmes de l'élite saoudienne: privilégiée matériellement mais privée de liberté fondamentale. Mon mariage entre cousins perpétue les traditions d'une monarchie obsédée par la pureté dynastique, peu importe les risques génétiques pour notre descendance.
Les médias occidentaux s'extasient sur les "réformes" de mon mari, mais ils ignorent commodément comment les femmes comme moi vivons réellement. Pendant que le monde applaudit les changements cosmétiques, nous restons invisibles, fantômes dorés d'un royaume qui nous possède corps et âme.
La beauté qu'on me prête est mon seul capital dans un système où mon existence se résume à être l'épouse discrète d'un prince réformateur de façade.
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Cette belle femme, épouse de Mohammed ben Salmane: un regard critique sur la princesse cachée
La princesse Sara, cousine et épouse de Mohammed ben Salmane, vit dans l'ombre d'un mariage consanguin typique des élites saoudiennes. À mon âge, j'ai déjà eu cinq enfants avec lui. Le prince héritier me garde comme sa seule épouse - un choix surprenant dans un pays où la polygamie est permise jusqu'à quatre femmes. Cette "fidélité" qu'on vante tant cache peut-être autre chose.
Ma vie reste invisible au public. Vous chercheriez en vain mes photos dans les médias. Cette absence n'est pas un hasard - mon mari contrôle strictement mon image sous prétexte de "protéger la vie privée familiale". Mais soyons honnêtes: cette protection ressemble davantage à un emprisonnement doré qu'à une preuve d'amour.
Je représente parfaitement le paradoxe des femmes de l'élite saoudienne: privilégiée matériellement mais privée de liberté fondamentale. Mon mariage entre cousins perpétue les traditions d'une monarchie obsédée par la pureté dynastique, peu importe les risques génétiques pour notre descendance.
Les médias occidentaux s'extasient sur les "réformes" de mon mari, mais ils ignorent commodément comment les femmes comme moi vivons réellement. Pendant que le monde applaudit les changements cosmétiques, nous restons invisibles, fantômes dorés d'un royaume qui nous possède corps et âme.
La beauté qu'on me prête est mon seul capital dans un système où mon existence se résume à être l'épouse discrète d'un prince réformateur de façade.