La République libre de Liberland vient d'annoncer le lancement de son programme spatial le 13 novembre. À première vue, cela ressemble à un autre projet de micronation, mais en réalité - il y a une idée.
L'équipe du programme a choisi une direction assez intéressante : au lieu de suivre le chemin des grandes agences spatiales, ils souhaitent créer une plateforme ouverte basée sur la décentralisation. À la tête du programme se trouve Rod Mamin, fondateur de LunCo et spécialiste des systèmes spatiaux.
Pourquoi cela a-t-il de l'importance ? Selon les organisateurs, le principal problème de l'industrie spatiale n'est pas le manque de technologies, mais l'encombrement bureaucratique. Liberland propose une autre voie : un minimum d'intervention de l'État, un maximum de liberté pour les ingénieurs et les start-ups.
Le président Vit Yedlichka a déclaré que le programme crée une plateforme pour que les pays et les organisations privées travaillent ensemble sans quantificateurs. L'idée semble utopique, mais si l'on parvient à établir quelques partenariats réussis, on peut changer la logique même des projets spatiaux.
Maintenant, Liberland cherche des bénévoles et des partenaires. Je me demande s'ils trouveront vraiment des personnes talentueuses ou si cela restera une belle idée sur le papier ? 🚀
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Liberland lance un programme spatial sans bureaucratie — quelle surprise!
La République libre de Liberland vient d'annoncer le lancement de son programme spatial le 13 novembre. À première vue, cela ressemble à un autre projet de micronation, mais en réalité - il y a une idée.
L'équipe du programme a choisi une direction assez intéressante : au lieu de suivre le chemin des grandes agences spatiales, ils souhaitent créer une plateforme ouverte basée sur la décentralisation. À la tête du programme se trouve Rod Mamin, fondateur de LunCo et spécialiste des systèmes spatiaux.
Pourquoi cela a-t-il de l'importance ? Selon les organisateurs, le principal problème de l'industrie spatiale n'est pas le manque de technologies, mais l'encombrement bureaucratique. Liberland propose une autre voie : un minimum d'intervention de l'État, un maximum de liberté pour les ingénieurs et les start-ups.
Le président Vit Yedlichka a déclaré que le programme crée une plateforme pour que les pays et les organisations privées travaillent ensemble sans quantificateurs. L'idée semble utopique, mais si l'on parvient à établir quelques partenariats réussis, on peut changer la logique même des projets spatiaux.
Maintenant, Liberland cherche des bénévoles et des partenaires. Je me demande s'ils trouveront vraiment des personnes talentueuses ou si cela restera une belle idée sur le papier ? 🚀