Le président de la BBC, Samir Shah, vient de présenter des excuses pour ce qu'il qualifie d'« erreur de jugement » après que le réseau ait été pris en flagrant délit en train de falsifier des images d’un discours de Trump.

Le timing ? Intéressant. Ils se préparent maintenant à d’éventuelles actions juridiques, Shah déclarant qu’ils sont « prêts à faire face à toutes les éventualités ». Traduction : les avocats sont en ligne directe.

Mais voici ce qui fait parler les gens — le gars s’excuse pour la maladresse éditoriale, pas exactement pour la manipulation elle-même. Un classique mouvement de gestion de crise. Une ambiance « désolé, on s’est fait prendre » à plein régime.

Tout ce bordel est un parfait exemple de pourquoi les médias décentralisés continuent de gagner du terrain. Quand les institutions traditionnelles peuvent modifier la réalité et ensuite simplement faire comme si de rien n’était avec des excuses d’entreprise, les gens commencent à chercher des alternatives qu’ils peuvent réellement vérifier. Je dis ça.