Le chef du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat vient de lancer une bombe : dépasser le seuil de réchauffement de 1,5°C est désormais "quasiment inévitable". Ce n'est pas seulement une catastrophe environnementale — c'est un signal macroéconomique. Pensez à un chaos dans la chaîne d'approvisionnement, à la volatilité des matières premières et à des changements réglementaires qui se répercuteront sur toutes les classes d'actifs. Le risque climatique est un risque financier, et les marchés ne l'ont pas encore intégré dans leurs prix.