En regardant un tweet d'il y a trois ans, c'est intéressant.

À ce moment-là, le fondateur d'un certain échange a tweeté : "Attendez de voir les nouvelles à la une : le Bitcoin passe de 100 000 $ à 85 000 $", et les commentaires étaient remplis de points d'interrogation et de moqueries - car ce jour-là, le BTC ouvrait à 21 308 dollars, atteignant un maximum de 23 642 dans la journée, ce qui était considéré comme une fête temporaire. Qui aurait pensé que ce chiffre, digne d'un conte de fées, deviendrait plus tard une plage de fluctuations apparaissant sans cesse dans les logiciels de marché ?

Hier, le marché a à nouveau connu une chute collective. Le vieux frère a encore pris la parole, cette fois-ci avec plus de calme : "À chaque baisse, il y a des gens qui crient à la fin du monde, mais l'horloge n'a jamais cessé de tourner."

Cette phrase semble être une parole réconfortante, mais en y réfléchissant, elle paraît assez réaliste. Après tout, ce marché n'a jamais manqué de cycles de panique et de cupidité, ce qui manque, c'est la patience pour supporter les fluctuations émotionnelles et comprendre les lois cycliques. Les personnes qui pensaient il y a trois ans que "100 000 dollars étaient un rêve fou" sont probablement encore en train de suivre les hausses et les baisses ; tandis que ceux qui prenaient silencieusement des notes sur les données et se préparaient ont au moins eu plusieurs occasions de monter dans le train.

Nous en sommes à un de ces nœuds : faut-il considérer la volatilité comme une catastrophe ou comme un signal ? Laissons le temps le vérifier. De toute façon, les tendances de ZEC et de GIGGLE et autres altcoins commencent déjà à raconter de nouvelles histoires.