Le 2 octobre, Mark Rutte, ancien Premier ministre des Pays-Bas, a été officiellement nommé secrétaire général de l’OTAN. Actuellement, les pays de l’OTAN sont en désaccord sur l’augmentation des dépenses de défense. Pendant son mandat de Premier ministre des Pays-Bas, Rutte a refusé à plusieurs reprises d’augmenter les dépenses de défense avant le déclenchement du conflit russo-ukrainien en 2022. Les médias occidentaux qualifient la nomination de Rutte en tant que secrétaire général de l’OTAN de « mandat sans lune de miel », pour décrire la situation embarrassante à laquelle Rutte est actuellement confronté. De plus, un mois seulement après sa prise de fonction, Rutte sera confronté au défi géopolitique le plus difficile : l’élection présidentielle américaine. Étant donné les différences d’attitude envers l’OTAN entre les deux candidats, Trump et Harris, les relations entre l’OTAN et les États-Unis sont incertaines.
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Le nouveau secrétaire général de l’OTAN de Mark Rutte risque un « mandat sans lune de miel »
Le 2 octobre, Mark Rutte, ancien Premier ministre des Pays-Bas, a été officiellement nommé secrétaire général de l’OTAN. Actuellement, les pays de l’OTAN sont en désaccord sur l’augmentation des dépenses de défense. Pendant son mandat de Premier ministre des Pays-Bas, Rutte a refusé à plusieurs reprises d’augmenter les dépenses de défense avant le déclenchement du conflit russo-ukrainien en 2022. Les médias occidentaux qualifient la nomination de Rutte en tant que secrétaire général de l’OTAN de « mandat sans lune de miel », pour décrire la situation embarrassante à laquelle Rutte est actuellement confronté. De plus, un mois seulement après sa prise de fonction, Rutte sera confronté au défi géopolitique le plus difficile : l’élection présidentielle américaine. Étant donné les différences d’attitude envers l’OTAN entre les deux candidats, Trump et Harris, les relations entre l’OTAN et les États-Unis sont incertaines.